Fredericks-Goldman-Jones – 1991 – Des bouts de moi (Accoustique Live 91) (45 Tours Programme Tour 1991 France)

1991, 45 Tours, France, Fredericks-Goldman-Jones - Singles, Programme0 commentaires

Recto


 

Frederciks-Goldman-Jones - Des bouts de moi - Live 91

Face A


Titre: Des bouts de moi (3’20)

Interprète: Fredericks Goldman Jones

Auteur/Compositeur: Jean-Jacques Goldman

Programme


 

Informations


Format: 45 Tours – Pays: France – Année: 1991 – Editeur: Columbia

Divers:

Fredericks Goldman Jones « Tournée 91 »
45 Tours offert avec le programme de la tournée « Fredericks Goldman Jones « Tournée 91″ »

Vidéos


 

 

Paroles


 

 

Des bouts de moi


 

 

J’ai laissé
Dans mon rétroviseur
Loin
Au milieu d’un décor
Des images
Impressions et couleurs
Et des flashes et des cris qui s’emmêlent
Et me collent au corps
Blanc
Le silence avant vous
Noire
La scène avant les coups
Longue (longue)
L’attente de vous voir
Et nos bras, nos regards au moment de se dire bonsoir (bonsoir)
J’ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu’on prend comme on reprend de l’air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière
Pour énerver l’hiver
Pour un peu d’éphémère
L’hôtel
La même chambre, hier
Gestes
Compte à rebours, horaire
Tests (tests, tests)
Rassurants, quotidiens
Les choses aussi retiennent leur souffle
Et puis le moment vient
Brûlent
Les lights et vos regards
Volent
Vos voix dans nos guitares
Belles
Les mains des musiciens
Et vos yeux que n’éteindra jamais un sommeil artificiel (oh)
J’ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu’on prend comme on reprend de l’air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière
Pour énerver l’hiver
Pour un peu d’éphémère
J’ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups et cœur et qui tuent chaque fois
Un matin pour s’étonner de nos impudeurs
Signatures alibis, mais il est déjà l’heure
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière
Pour énerver l’hiver
Pour que tout s’accélère
J’ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu’on prend comme on reprend de l’air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière
Pour énerver l’hiver
Pour un peu d’éphémère

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